Les fabricants constatent que les standards de production (exigences de bonne pratique) sont interprétés de plus en plus sévèrement durant l’inspection. Les standards internationaux sont adéquats pour la production de grandes quantités de substances chimiques, qui, elles, sont standardisables. Et on ne peut guère comparer les exigences de sécurité et de qualité auxquelles est soumise la production locale à celles auxquelles est soumise la production mondialisée de produits de synthèse.

Le fait d’augmenter les obstacles là où il n’y a jamais eu de réclamation et où il n’y en aura vraisemblablement jamais au vu du risque minimal constitue une enfreinte au principe de proportionnalité.