Les thérapies individualisées de la médecine complémentaire nécessitent un grand nombre de préparations différentes. Moins il y a de médicaments à disposition, plus les possibilités thérapeutiques sont limitées.

Des conditions d’autorisation trop draconiennes, les tarifs bas de la LS et des inspections disproportionnées ont pour conséquence que le nombre de médicaments diminue. Si le remboursement prévu par la LS ne couvre plus les prix de fabrication, des produits bon marché disparaîtront du marché pour être remplacés par des produits plus cher. Ce n’est toutefois pas possible pour les médicaments de la médecine complémentaire et de la phytothérapie pour lesquels des alternatives naturelles n’existent pas.